Galerie virtuelle de Allaux Jo
Photo présentation

Photographe pro depuis un peu plus de 10 ans, Jo ALLAUX a toujours été passionné par la photographie et les grands reporter. Sa vie professionnelle riche et intense lui a permis de découvrir notre monde très jeune. Mais pour tout dire, c'est la Vie qui lui a ouvert les portes du monde de la photo.
Alors qu'il est déjà auteur photographe (indépendant) une rencontre exceptionnelle ( Jo adore et répète souvent cette phrase que Churchill un jour dit à l'un de ses conseillers "Le hasard, c'est lorsque Dieu décide de rester incognito") lui a permis de rencontrer Monsieur Mete ZIHNIOGLOU directeur de SIPA PRESS, qui lui délivre un mandat à partir de 2007.

Photographe indépendant, d'autres agences comme News Pictures lui ouvrent aussi leurs portes.

Autodidacte, il a la chance de croiser la route de grands personnages de l'image. Jérôme CAMUT, aujourd'hui écrivain, qui était à l'époque chef opérateur, Eric Feuillerade, Bernard CHAROY, Georges AUZOLAT, Jean-Pierre VILLARET... Jo apprend beaucoup d'eux.
Quelques expos et publications plus tard, il continue à parcourir le monde des humains. Toujours à la recherche de cette petite étincelle de vie qui brille dans les yeux de ceux là même qui auraient pu perdre l'espoir.
En avril 2016, une expérience marquante qui synthétise à merveille sa passion pour la photographie, ainsi que la reconnaissance de ses pairs, la Fédération Photographique de France lui demande d'être l'un des trois juges pour la finale de la coupe de France "Papier couleur ", sous l'égide de Robert Alcaraz, commissaire, et aux côtés de Jacky Martin (juge international) et Ana Sartori, artiste plasticienne et photographe (juge). En Juin 2016, Premier juge au concours d'Auteur régional, MDA DU 14ème, Fédération Photographique de France.

Mais Jo n'aime pas parler de lui.
" J'ai la conviction de ne faire que du vent. Je ne suis que le témoin éphémère de quelques vies. Dont les véritables auteurs sont les sujets de mes images. Qu'est-ce donc qu'une image sans celle (la belle personne) qui m'y autorise, et sans celui ou celle qui la découvre et s'émeut ? Je n'oublie jamais que c'est ce vent là qui gonfle mes voiles "